ReloK : une solution post-mondialiste pour rendre notre mode de vie responsable et éradiquer le chômage

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À travers 2 objectifs :

  1. relocaliser l’économie

    • en systématisant l’utilisation d’une monnaie locale complémentaire (MLC) dans chaque communauté de communes.
    • par la demande en augmentant petit à petit la quantité de MLC dans l’économie.
    • en s’appuyant sur une gestion à grande échelle du projet (étatique ou super-étatique, France ou Europe).
    • en proposant un échange logique entre les différentes MLC pour atténuer le problème des zones frontalières.
  2. réguler le capitalisme

    • en définissant des règles visant une production locale,  recyclable & une gestion responsable.
    • en délivrant des licences aux entreprises / artisans / agriculteurs respectant ces règles.
    • seuls les détenteurs de cette licence pouvant vendre leurs produits en MLC.

 

Un schéma vaut mieux qu’un long discours
relok relocalisation économie 2016


Pourquoi un tel projet ?

 

ReloK est né d’une question simple : comment relocaliser l’économie ? Je me suis posé cette question suite au constat des aberrations qu’entraînent la mondialisation en France : un chômage de masse, des importations de produits manufacturés à bas coût et basses normes environnementales réduisant à peau de chagrin notre production hexagonale, recentrée sur les services. Ce secteur ne pouvant cependant pas offrir du travail à tous.

Répondre à comment réduire le chômage et limiter ses importations est simple : il suffit de relocaliser, d’où la question initiale. Cependant relocaliser la production de biens sans faire de protectionnisme ni fermer les frontières (on sait les dérives guerrières que génèrent ces solutions de repli) nous amène à prendre le problème par l’autre sens. Si l’on ne peut pas contraindre, incitons !

Quelle meilleure incitation que la perspective de profits dans notre société actuelle ? Allons droit au but désormais : le projet ReloK est basé sur l’incitation à la relocalisation par la demande via une monnaie locale complémentaire gérée au niveau nationale mais appliquée au niveau local, au niveau des communautés de communes par exemple – voir échelle géo-démographique et interdépendance des territoires. Cela signifie que plutôt que de multiplier par-ci par-là des monnaies locales à petite échelle, ReloK propose d’œuvrer au niveau national puisque c’est à ce niveau que tout se décide en France et dans bien des pays.

L’atout indéniable est une force de frappe incomparable avec les monnaies locales existantes : imaginez un même système partout en France, que l’Etat peut contrôler et surtout alimenté. Comment ? En donnant à chaque citoyen une carte de crédit leur permettant d’utiliser leur monnaie locale et en alimentant cette carte par une fraction des aides sociales. Ces aides, payées en monnaie locale, créées de la demande puisque les gens chercheront évidemment à dépenser cette monnaie pour leur consommation ordinaire.

Couplez cela avec la délivrance d’une licence permettant seulement aux productions locales de se vendre en monnaie locale – voir régulation, réglementation agricole et éco-conception – et in fine l’économie se relocalisera petit à petit, grâce à une bonne gestion du flux de monnaie locale.

Je vous invite à réfléchir ensemble à chaque rouage de ce nouveau système économique, d’en découvrir ses limites et si possible, de les contourner.

La première introduction publiée à propos de ReloK, plus longue, est disponible en suivant ce lien.

Voici un premier jet schématique du projet :

 

Aidez-nous : participez !

Citoyens, étudiants, économistes, sociologues, experts en tous genres, donnez votre avis en commentant ci-dessous pour faire avancer le projet.

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